Pour améliorer la longévité et accroître l’espérance de vie, la médecine de demain utilisera très probablement des puces implantées dans le corps permettant de corriger certains désordres de l’organisme. Par exemple des « pilules intelligentes » capable d’administrer un médicament à l’endroit et au moment voulu, ou des capteurs susceptibles de diagnostiquer des erreurs de fonctionnement de nos cellule.
Voici un extrait d’« une vie en plus », chapître 3, P.79 : « De plus en plus, nous disposerons de puces minuscules implantées, de biocapteurs, et de réservoirs miniatures, constituant des sortes de mini-organes électroniques capables de traiter un nombre croissant d’affections. »
Afin de mieux comprendre comment de telles puces fonctionneront et pourquoi elles permettront également d’envoyer des informations vers l’environnement afin d’assurer le suivi médical de personnes à risques, voici une petite animation de 4 minutes réalisée à la Cité des Sciences et de l’Industrie pour l’exposition « l’Homme transformé ».